L’Épopée des trois fils de l’Amelohal Mustapha
A travers le désert et la savane, suivons les tribulations comiques et poétiques de trois jeunes hommes en quête du rachat de l’âme de leur père. Une pléthore de personnages, des paysages grandioses, une fable sur le bonheur tissent la toile de fond de cette histoire. Une épopée fantastique, jouée sur un rythme effréné où le public, plus que complice, fait partie intégrante de l’histoire. Un message de paix et d’amour universel.
Tout public à partir de 7 ans
Durée : variable en fonction de l’âge du public
Presse
Avec une présence remarquable et une faconde intarissable, le conteur manie l’humour et la dérision dans un récit également tout emprunt de poésie. La parole et le geste s’accordant en permanence, on passe sans cesse d’un personnage à l’autre. Des récits aux accents enchanteurs et pleins de fraîcheur qui ont su séduire le public.
Le Dauphiné Libéré, mai 2003Allez l’applaudir. C’est un grand moment d’émotion. Un de ces rendez-vous touchants et riants à la fois qui mettent du baume au coeur, pansent les plaies les plus profondes sans du tout avoir l’air d’y toucher. A ne pas manquer.
M.E. Galfré, Le Parisien, mars 2010Rachid Akbal fait vivre l’histoire de « son héros »; littéralement habité, de tout son corps, de toute son âme. Bouleversant d’authenticité, clamant le droit de rêver, d’être libre pour un récit riche en métaphores, très imagé, empreint de poésie et d’humour, avec l’émotion à fleur de peau.
Vaucluse matin, juillet 2009Rachid est seul en scène avec ses souvenirs et ses petits pincements, ses sourires aussi. Le spectacle fonctionne comme un conte, mais l’acteur est capable d’une rare mobilisation physique qui ramène du jeu en force et fait jaillir des images gorgées de couleur et d’émotion. On respire le soleil d’Algérie, au pied des figuiers et des orangers, on partage les joies et les déceptions au creux d’une vie faite de déracinement, d’errance, de perte…
Sylvie Chalaye, Africultures, sept 2009