« Il me reste en tête de magnifiques images : les stores, immeubles de béton en flottaison-suspension ; la danseuse forte de son silence, dont la colère profonde, dense, retenue, s’exprime dans une harmonie de courbes, contorsions, désarticulations ; le cri de désarroi de celui qui épuise toute son énergie à tenter de maintenir le lien, lui qui provient du même tissage que ceux auxquels il s’adresse ; le journaliste polichinelle (au costume-assemblage hétéroclite) qui tente de rendre compte dans une forme calibrée de ce qui, justement, ne peut se contenir, tout au plus se cerner : la colère. Et bien sûr, la dame foldingue et sa réapparition finale, qui susurre un message insolite de conciliation… Pas si folle que ça peut-être… » Brigitte
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